Lorsque l'automne souffle tes charm

Lorsque l'automne souffle tes charmes,
Qu'un à un tes vêtements tu effeuilles,
Alors moi de mon côté je rends les armes :
Moi je frissonne tout comme une feuille.

Femme,
Quand explorateur, je compte tes grains de beauté
Qu'un à un je cache dessous mille baisers,
Et si parfois je flâne un petit peu ici ou là :
J'écoute ce que raconte ton corps en émoi.

Femme,
Quand tu te fais fleur, ouvrant tes pétales de satin,
Que tu révèles tes couleurs sous la rosée du matin,
Je m'en vais chercher au thermomètre
La chaleur au plus profond de ton être.

Femme,
Quand la rosée du matin se fait violent orage,
Que le tonnerre rompt le silence des sages,
Et que ton corps dégouline sous la sueur
Tu te fais assassine de mon cœur.

Femme,
Lorsque claque une retentissante affaire
Qui bien souvent n'est pas pour te déplaire,
Ta bouche renvoie un cri de plaisir en écho
A cette fessée tombée en singulier cadeau.

Femme,
Quand tes reins balancent et balancent
Au rythme endiablé de ton effervescence,
Je suis comme un voilier solitaire sur la Manche,
Le mât qui tangue sous la houle de tes hanches.

Femme,
Lorsqu'au moment ultime voilà que je te crucifie,
Que mon subconscient tue le père en enterrant le fils,
Alors toi aussi tu en viens à donner ton corps,
Ta gorge hantée : "encore ! encore ! encore !

Résultats (Français) 1:

Lorsque l'automne souffle tes charmes,Qu'un à un tes vêtements tu effeuilles,Alors moi de mon côté je déchire les armes :Moi je frissonne tout comme une feuille.Femme,Explorateur, quand je compte tes grains de beautéQu'un à un je cache dessous mille volé,Et si je flâne parfois un petit peu ici ou est :J'écoute ce que raconte ton corps en émoi.Femme,Quand tu te t'en fais fleur, pétales de tes ouvrant satin,Que tu révèles tes couleurs sous la rosée du matin,Je m'en vais chercher au thermomètreLa chaleur au plus profond de ton être.Femme,Quand la rosée du matin se fait violent orage,Que le tonnerre rompt le silence des sagesEt que ton corps dégouline sous la sueurTu t'en fais de mon cœur te assassine.Femme,Retentissante une claque Lorsque affaireQui bien n'est souvent pas verser déplaire te,Ta bouche renvoie un cri de plaisir en échoUn singulier cette fessée tombée en cadeau.Femme,Quand tes rênes balancent et balancentAu rythme de endiablé ton effervescence,Je suis comme un voilier solitaire sur la Manche,Le die tangue qui sous la houle de tes hanches.Femme,Lorsqu'au cherchez le moment voilà que je te crucifie,Que mon subconscient tue le père en enterrant le fils,Alors toi tu viens à fr de donner ce ton corps,Ta gorge hantée: "encore ! Encore ! Encore !

Résultats (Français) 2:

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Qu'un une ONU tu tes vêtements effeuilles,
Alors je moi de mon côté les armes déchire:
. Moi je Une feuille Comme tout frissonne Femme, Quand explorateur, Je compte de Beauté tes grains Qu'un Dessous à mille baisers de non je te cache, Et si non petit peu Parfois je ICI OU flane est: . Je écoute that en Emoi raconte ton corps Femme, Quand tu te fais fleur, ouvrant petales tes de satin, tes Que tu Couleurs Reveles Rosée du matin la sous, je chercher Au thermomètre me en vais la Chaleur de tonnes au être Des profond ainsi. Femme, Quand la Rosée du matin se fait Violent Orage, Que le le silence des sages rompt Tonnerre, Et Que ton corps dégouline sous La Sueur Tu te fais de mon coeur Assassine. Femme, when claque Une affaire retentissante Ne EST PAS verser Qui bien Souvent deplaire te, Ta Bouche Un cri de plaisir en renvoie Echo Un fessee This Singulier Tombee en Cadeau. Femme, Quand tes rênes balancent balancent et de ton effervescence endiablé rythme Au, Je suis comme Sur un voilier solitaire la Manche, Le disparu Qui sous la Houle de tes hanches tangue. Femme, Que je te voila Lorsqu'au moment, crucifie ultime, Qué Lun le père subconscient le fils en enterrant, Alors à toi aussi tu en ton corps Donner Viens, je gorgent hantee: «Encore! encore! encore!