Nuit blanche dans tes drapsOù ton c

Nuit blanche dans tes draps
Où ton corps se déhanche,
Nuit blanche dans tes bras
Avec nos avalanches
De baisers en flocons,
La lune sur tes hanches
Fait comme un gros ballon
Qui, tout en moi déclenche
Des hordes de frissons…
Nuit blanche entre Toi et moi,
Les crissis de tes soies
En nos étreintes franches,
Et ton souffle et ta voix
Mourant sur mon épaule,
Tes cheveux blonds me frôlent
En filaments de joie,
Quand sur moi tu te penches
Et voiles mes regards,
Ton cri au fond du soir
Quand ta chair s’est donnée,
Nos âmes sont miroirs
En vibrantes Psychés ;
Il se fait tôt ou tard,
Personne ne le sait,
La nuit ou le matin
Cernent là nos regards
Aux cernes fins et bruns…
Tes bas crissent encor
En des sanglots sans fin
Que j’en reperds le nord
Au début d’un matin…

Et tout nous dit « Encor »,
Les draps comme des brumes
Ont de lents reflets d’or
Sous des restes de lune ;
Ta peau a les parfums
De nos Orients tout proches,
Mes doigts cherchent tes doigts
Et nos corps se raccrochent
A quelque blanche nuit
Courant sur le vitrail…

Une mèche de cheveux blonds
A laquelle je mords,
Comme le fil de nos chairs
Qui nous relie encor…
Tu glisses sur ma peau,
Comme un cygne en paresse,
Ta paume me survole,
Nous sentons bien nos chairs
Qui à nouveau s’affolent,
Frissonnent, s’irisent, se pressent,
Tes seins oiseaux de feu
Déclenchent ici de folles
Et précises caresses,
Tout brûle au fond de nous,
Nous portons nos torchères
Et nos corps s’exaspèrent,
Tu pleus en moi,
Je fonds en Toi,
Les gouttes de nos pluies,
Diamants qui nous transpercent
Se figent dans nos sens,
Sertis de nos folies !
Je sens tes impatiences
Au fond de nos averses,
Tu cries, griffes et gémis
En de lentes et perverses
Plaintes à l’infini…

Résultats (Français) 1:

Nuit blanche dans tes drapsOù ton corps se déhanche,Soutiens-gorge de Nuit blanche dans tesAvalanches d'amendements avecDe volée en flocons,La lune sur tes hanchesFait comme un gros ballonQui, tout en moi déclencheFrissons des hordes de...Nuit blanche entre Toi et moi,Les crissis de tes soiesFr nos franches, étreintesEt ton souffle et ta voixMourant sur mon épaule,Blondes TES cheveux me frôlentEn filaments de joieQuand sur moi tu te penchesEt mes voiles cordialement,Ton cri au fond du soirQuand ta chair s'est donnée, Nos âmes-miroirsEn relations vibrantes ;Il se fait tard ou areon,Personne ne le sait,La nuit ou le matinCiment est ce qui concerne nosAux fins des cernes et bruns...TES bas crissent encorDes sanglots fr sans finJ'en reperds que le nordAu début d'un matin...Et tout dit de nous « Encor »,Les draps comme des brumesOnt de lents reflets d'orLune de sous des restes ;Ta peau a les parfumsAmendements de Orients tout proches,MES doigts cherchent tes doigtsEt nos corps se raccrochentUn quelque nuit blancheCourant sur le vitrail.Une mèche de cheveux blondsA laquelle je mords,Comme le fil de chaires de nosQui nous relie encor...Tu glisses sur ma peau,Comme un cygne fr paresses,Ta paume me survole,Chaises d'amendements nous sentons bienQui à nouveau s'affolent,Frissonnent, s'irisent, se, seTES seins / oiseaux de feuDéclenchent ici de follesEt caresses pré­cises, Suis pas tout nous de friands de UA,Nous portons nos torchèresEt nos corps s'exaspèrent,Tu pleus en moi,Fr de fonds je Toi,Les gouttes de pluies, amendementsDiamants qui nous transpercentSE figent dans nos sens,Sertis de nos folies !Je sens tes impatiencesAu fond de nos averses, Tu cries, griffes et gémisFr de lentes et perversesPlaintes à l'infini...