Mes mains sur ton corps langoureux,

Mes mains sur ton corps langoureux,
Ma bouche sur tes lèvres pulpeuses,
Et mon sexe brûlant t’embrasant
Nous menant hagards vers le néant
Enfin unis, enlacés, comblés
Et piégés, prêts à recommencer.

La passion un moment apaisée,
La tendresse apparaît, curieuse
De cet autre soi-même dénudé,
Fragile, à ses côtés apaisé.
La soif de l’autre, en vague furieuse,
Des sens, fait remonter le désir.
Les lèvres avides parcourent le pénis,
Les mains brandissent la hampe séductrice
Et de ses mouvements bienfaiteurs
Jaillissent les spasmes libérateurs.

L’adversaire ne reste pas de fer
Et agrippe fermement les hanches,
A sa bouche la fontaine de l’amour
Il amène, il la lèche, de sa langue
Le désir monte du sanctuaire
Offert, du doigt il explore le tour
De ce trésor, un appel résonne,
Priant, envoûtant et qui le nomme.
Une douce chaleur, à pénétrer
L’invite, et les yeux dans ses yeux
Il glisse, heureux, vers la volupté
Pour y cueillir l’offrande merveilleuse.

Résultats (Portugais) 1:

MES da rede sur ton corps langoureux,Ma bouche sur tes lèvres pulpeuses, Et mon sexe t'embrasant brûlantNous hagards vers menant le néantEnfim os guardas, enlacés, comblésEt prêts à recommencer, piégés.La paixão un momento apaisée,La tendresse apparaît, curieuseDe cet autre soi-même dénudé,Frágil, à ses côtés apaisé.La soif de L'Autre, en furieuse vago,Des sens, fait remonter le désir.Les lèvres avides parcourent le despedaçaram,Les brandissent de rede la séductrice hampeEt de ses mouvements bienfaiteursJaillissent les spasmes libérateurs.L'adversaire ne para permanecer, pas de ferEt agrippe fermement les hanches,Uma sa bouche la fontaine de L'AmourAmène Il, il la lèche, de langue de saLe désir monte du ao santuárioOffert, du doigt il explore le tourDe ce trésor, un appel résonne,Priant, subjugando et Nõmme le.Une douce chaleur, à pénétrerL'invite, et les yeux edição dans ses yeux ediçãoGlissé Il, heureux, vers la voluptéDespeje y cueillir l'offrande merveilleuse.

Résultats (Portugais) 2:

Mes mains sur ton corps langoureux,
Ma bouche sur tes Levres pulpeuses,
et mon sexe Brulant t'embrasant
vers le neant Nous menant hagards
unis Enfin, enlaces, COMBLES
pieges Et, Prets À recommencer. La passion apaisee momento un, apparait La tendresse, curieuse De cet AUTRE soi-meme dénudé, Frágil, à ses Côtes apaise. La soif de L'Autre, en furieuse vaga, des Sens, le fait DESIR remonter. Les Levres Avides parcourent le pênis, Les mains brandissent Seductrice la Hampe et de ses mouvements bienfaiteurs Jaillissent les spasmes liberateurs. L'ne pas reste de fer adversaire agrippe fermement Et les hanches, Um sa bouche de l'amour la fontaine Il Amene, il la Leche, de sa langue du Le DESIR monte sanctuaire offert, du doigt il explorar Le Tour de ce Tresor, un resonne appel, PRIANT, et qui le envoûtant Nomme. Une douce chaleur, à penetrer L'convidar, et ses yeux dans les yeux Il glisse, Heureux, vers la volupté y cueillir Pour l'offrande RM.